Books by leconte de lisle

L'Iliade (en grec ancien Ἰλιάς / Iliás, en grec moderne Ιλιάδα / Iliádha) est une épopée de la Grèce antique attribuée à l'aède légendaire Homère. Ce nom provient de la périphrase le poème d'Ilion (ἡ Ἰλιὰς ποίησις / hê Iliàs poíêsis), Ilion (Ἴλιον / Ílion) étant l'autre nom de la ville de Troie.L'Iliade est composé de 15 337 hexamètres dactyliques et, depuis l'époque hellénistique, divisée en vingt-quatre chants. Le texte a probablement été composé entre -850 et -750, soit quatre siècles après la période à laquelle les historiens font correspondre la guerre mythique qu'il relate. Il n'a été fixé par écrit que sous Pisistrate, au VIe siècle av. J.-C. Dans l'Antiquité, l'Iliade faisait partie d'un cycle épique, le cycle troyen, mais seules l'Iliade et l'Odyssée en ont été conservées.L'épopée se déroule pendant la guerre de Troie dans laquelle s'affrontent les Achéens venus de toute la Grèce et les Troyens et leurs alliés, chaque camp étant soutenu par diverses divinités comme Athéna, Poséidon ou Apollon. L'Iliade détaille les événements survenus pendant quelques semaines de la dixième et dernière année de la guerre. Après un siège de dix ans, le sort des armes hésite encore. Achille est le meilleur guerrier de l'armée achéenne. Mais une querelle avec le roi Agamemnon, chef des Achéens, met Achille en colère et il décide de se retirer du combat, ce qui menace de retourner le sort de la guerre en faveur des Troyens, galvanisés par Hector, le meilleur guerrier de Troie. Le récit culmine avec le retour d'Achille au combat et son duel contre Hector, puis les outrages infligés par Achille au corps de son ennemi vaincu. L'Iliade se termine avec les funérailles d'Hector. Le dénouement laisse entendre une victoire prochaine des Achéens.L'Iliade forme, avec l'Odyssée, l'une des deux grandes épopées fondatrices de la littérature grecque antique. Dès l'Antiquité, elle fait l'objet de nombreux commentaires et interprétations et engendre une postérité abondante, dont la principale épopée mythologique romaine, l'Énéide de Virgile, au Ier siècle av. J.-C. Connue au Moyen Âge par des réécritures latines, l'Iliade est redécouverte dans son texte grec à la Renaissance. À partir de la fin du XVIIIe siècle, la compréhension du texte et de ses origines est renouvelée peu à peu par la question homérique qui remet en cause l'existence d'Homère. L'épopée continue d'inspirer les artistes et de susciter l'intérêt des hellénistes et des historiens jusqu'à nos jours.

L'Odyssée (en grec ancien Ὀδύσσεια / Odússeia) est une épopée grecque antique attribuée à l'aède Homère, qui l'aurait composée après l'Iliade, vers la fin du VIIIe siècle av. J.-C. Elle est considérée comme l'un des plus grands chefs-d'oeuvre de la littérature et, avec l'Iliade, comme l'un des deux poèmes fondateurs de la civilisation européenne.L'Odyssée relate le retour chez lui du héros Ulysse (Odysseus en grec), qui, après la guerre de Troie dans laquelle il a joué un rôle déterminant, met dix ans à revenir dans son île d'Ithaque, pour y retrouver son épouse Pénélope, qu'il délivre des prétendants, et son fils Télémaque. Au cours de son voyage sur mer, rendu périlleux par le courroux du dieu Poséidon, Ulysse rencontre de nombreux personnages mythologiques, comme la nymphe Calypso, la princesse Nausicaa, les Cyclopes, la magicienne Circé et les sirènes. L'épopée contient aussi un certain nombre d'épisodes qui complètent le récit de la guerre de Troie, par exemple la construction du cheval de Troie et la chute de la ville, qui ne sont pas évoquées dans l'Iliade. L'Odyssée compte douze mille cent neuf hexamètres dactyliques, répartis en vingt-quatre chants, et peut être divisée en trois grandes parties: la Télémachie (chants I-IV), les Récits d'Ulysse (chants V-XII) et la Vengeance d'Ulysse (chants XIII-XXIV).L'Odyssée a inspiré un grand nombre d'oeuvres littéraires et artistiques au cours des siècles, et le terme odyssée est devenu par antonomase un nom commun désignant un récit de voyage plus ou moins mouvementé et rempli d'aventures singulières .

Leconte de Lisle, grand poète français, fut un ardent républicain qui prit activement part aux luttes politiques lors de la révolution française. Ce catéchisme publié en 1870 est ouvertement anti-clérical et profondément républicain, il constitue un manuel d'instruction publique pour l'égalité et la liberté. Sous forme de questions-réponses courtes, bien ciselées et efficaces, Leconte de Lisle y expose sa vision des droits et des devoirs de l'homme en tant que citoyen au sein de la république. Ces mêmes principes politiques, sociaux et philosophiques se retrouveront dans la célèbre Déclaration au peuple français de 1871. Cette oeuvre didactique reste aujourd'hui toujours d'actualité afin de rappeler, à tous, les fondements de notre république.Le texte est suivi d'une présentation de Leconte de Lisle par Paul Bourget.Édition en gros caractères.Table des Matières: PréfaceDe l'HommeDe l'IndividuDu Corps socialDe l'ÉtatDe la RépubliqueM. Leconte de Lisle par Paul Bourget

Les Suppliantes est une trag�die grecque d'Euripide, consacr�e � la guerre des sept chefs. Elle est repr�sent�e pour la premi�re fois vers 423 av. J.-C. Son titre fait r�f�rence � la pr�sence continue du choeur et de femmes en pleurs sur la sc�ne.

Constituant un r�sum� net et concis, Leconte de Lisle propose dans cet ouvrage un r�cit qui, sans omettre l'essentiel, rappelle les �v�nements majeurs de cette p�riode cruciale de l'Histoire de France.

Pendant la Guerre de Troie, le mari d'Andromaque Hector fut tu#65533; en combat singulier par Achille. Leur fils Astyanax fut ensuite jet#65533; du haut des remparts de Troie par les Grecs, de peur qu'il ne cherche #65533; venger son p#65533;re et la cit#65533; une fois adulte. Andromaque devient alors esclave de N#65533;optol#65533;me, fils d'Achille. Ces #65533;v#65533;nements sont d#65533;crits dans Les Troyennes, une autre pi#65533;ce d'Euripide. Les ann#65533;es passent et Andromaque met au monde un enfant de N#65533;optol#65533;me : Molossos. Cependant, N#65533;optol#65533;me se marie avec Hermione - fille de M#65533;n#65533;las et H#65533;l#65533;ne - qui est tr#65533;s jalouse de la relation entre Andromaque et N#65533;optol#65533;me. Craignant pour la vie de son enfant, Andromaque le cache et trouve refuge dans le temple de Th#65533;tis, d#65533;esse m#65533;re d'Achille. Ensuite, Hermione r#65533;ussira #65533; la retrouver et cherchera #65533; la faire sortir, l'accusant de trahison.

Au d#65533;but de la pi#65533;ce, le p#65533;dagogue des enfants de M#65533;d#65533;e et leur nourrice discutent du remariage de Jason avec la fille du roi Cr#65533;on, Glauc#65533;. M#65533;d#65533;e para#65533;t et laisse #65533;clater sa col#65533;re. Elle cherche une mani#65533;re de punir son mari. Le roi Cr#65533;on la chasse alors en exil avec ses enfants, mais, suppli#65533; par M#65533;d#65533;e, il lui accorde cependant un d#65533;lai d'une journ#65533;e avant son d#65533;part. M#65533;d#65533;e d#65533;cide d'employer ce laps de temps #65533; tuer Cr#65533;on et sa fille Cr#65533;use. Jason entre ensuite en sc#65533;ne, ce qui provoque une sc#65533;ne de dispute avec M#65533;d#65533;e. Apr#65533;s cela, M#65533;d#65533;e promet au roi #65533;g#65533;e, en voyage, de l'aider #65533; avoir des enfants, s'il l'h#65533;berge quand elle aura quitt#65533; le royaume de Cr#65533;on. Il accepte, ce qui l#65533;ve les derni#65533;res h#65533;sitations de M#65533;d#65533;e #65533; commettre son crime. Devant Jason, elle confie #65533; ses enfants un diad#65533;me et un voile empoisonn#65533;s, destin#65533;s #65533; tuer la fille de Cr#65533;on, en disant #65533; Jason qu'il s'agit de pr#65533;sents visant #65533; amadouer la princesse afin que ses enfants #65533;chappent #65533; l'exil. Les enfants reviennent, ayant accompli leur mission. M#65533;d#65533;e, troubl#65533;e, les fait rappeler plusieurs fois en sc#65533;ne, sachant que le destin est d#65533;sormais irr#65533;versible. Un messager vient annoncer #65533; M#65533;d#65533;e la mort de la princesse, mais aussi de Cr#65533;on. M#65533;d#65533;e tue ses enfants en coulisses. Jason rentre, craignant pour ses fils, mais il est d#65533;j#65533; trop tard. M#65533;d#65533;e, mont#65533;e sur un char tir#65533; par des dragons, lui refuse de toucher les cadavres de leurs enfants et part pour la terre d'#65533;g#65533;e, laissant Jason seul avec sa douleur.

#65533; la t#65533;te d'une arm#65533;e puissante, Polynice arrive d'Argos pour reprendre le pouvoir sur la ville de Th#65533;bes, conform#65533;ment #65533; un accord de r#65533;gne tournant conclu avec son fr#65533;re. #65533;t#65533;ocle refuse de lui rendre le tr#65533;ne, et ce, malgr#65533; une ultime tentative de conciliation men#65533;e par Jocaste. Avant le combat, #65533;t#65533;ocle confie #65533; son oncle Cr#65533;on, fr#65533;re de Jocaste, la conduite de la ville et lui demande de chercher conseil aupr#65533;s du devin Tir#65533;sias. Enfin, il interdit que le corps de Polynice repose en terre th#65533;baine.Tir#65533;sias d#65533;clare #65533; Cr#65533;on que la ville sera sauv#65533;e si son fils, M#65533;n#65533;c#65533;e, est sacrifi#65533;. Cr#65533;on refuse d'accomplir ce sacrifice et pr#65533;pare la fuite de son fils. Cependant, celui-ci se sacrifie, conscient de l'importance de sauver la ville. Le combat tourne #65533; l'avantage des Th#65533;bains et l'assaut argien contre les murailles est repouss#65533;. #65533;t#65533;ocle propose alors un combat singulier #65533; Polynice. Les deux fr#65533;res s'entretuent. Jocaste et Antigone, averties du combat, arrivent trop tard. Jocaste, de d#65533;sespoir, se suicide sur les corps de ses fils. Antigone ram#65533;ne les trois d#65533;pouilles devant le palais royal. L#65533;, au comble du d#65533;sespoir, elle appelle #65533; son aide OEdipe qui sort du palais. Cr#65533;on alors rappelle l'ordre d'#65533;t#65533;ocle interdisant des fun#65533;railles #65533; Polynice et ordonne #65533; OEdipe de quitter d#65533;finitivement Th#65533;bes, le consid#65533;rant comme la cause de tous les malheurs s'#65533;tant abattus sur la ville. Antigone proteste et, tenant t#65533;te #65533; Cr#65533;on, affirme qu'elle donnera une s#65533;pulture #65533; Polynice, d#65533;t-elle en mourir, et accompagnera son p#65533;re en exil.

Cette histoire du Moyen-�ge se lit comme un roman d'aventure, � la fois �pique et fascinant. De la chute de l'Empire Romain aux invasions barbares en passant par les croisades et les conqu�tes arabes, on y d�couvre seize si�cles profond�ment marqu�s par la guerre et les luttes incessantes pour le pouvoir. Mais c'est aussi et surtout une p�riode de transition durant laquelle le monde sera confront� � de grandes �volutions, � une avanc�e inexorable vers les lumi�res de la Renaissance.

" Je n'entreprends point d'�crire l'histoire commerciale de nos �tablissements orientaux. Mon unique dessein est de m'en remettre � l'�loquence br�ve et nette des faits du soin de pr�ciser le caract�re politique de notre action dans l'Inde. L'insurrection actuelle qui, t�t ou tard, devra se transformer en un soul�vement national des Mongols musulmans et des Hindous, en signalant les vices inh�rents � la conqu�te anglaise, ajoute un int�r�t plus vif au souvenir de notre grandeur et de notre d�cadence � la c�te du Karnatik, dans le Dekkan et au Bengale. Il se donne, en effet, une le�on sanglante, bien que tardive, l� o� nous n'avons expi� que les fautes de l'ancienne monarchie. La nation anglo-saxonne, si �nergiquement douce comme race colonisatrice, toutes les fois qu'il lui a �t� permis d'agir dans un milieu libre, sur un fonds �man� de son sein, s'est montr�e sans cesse, entre tous les peuples anciens et modernes, la race antipathique et destructive par excellence. Ce n'a pas �t� seulement la condition de son originalit�, mais en quelque sorte la loi de son existence..."

" ... Les quatre �vangiles qui portent les noms de saint Matthieu, de saint Marc, de saint Luc et de saint Jean, ont �t� adopt�s par l'�glise � l'exclusion d'un tr�s-grand nombre de recueils semblables dont l'autorit� �tait unanimement reconnue par les Chr�tiens primitifs. Les raisons de ce choix ne nous ont pas �t� donn�es. Nous ne savons ni par qui, ni comment, ni � quelle �poque pr�cise ces �vangiles ont �t� compos�s; mais il importe peu que nous le sachions. Le fait essentiel est qu'ils nous r�v�lent la naissance et la mort miraculeuses de J�sus-Christ, Fils de Dieu, n� d'une Vierge par l'op�ration du Saint-Esprit, mort sur la croix, enseveli, ressuscit� et d�clar� par le Concile de Nic�e, trois cent vingt-cinq ans apr�s, Dieu lui-m�me, de m�me substance que son P�re et �ternel comme lui. Ces v�rit�s, on le voit, sont clairement exprim�es et ne sauraient �tre discut�es. D'ailleurs, les personnes qui veulent soumettre les origines du Christianisme � l'examen de la raison et de la science, oublient trop ces paroles d�cisives de Tertullien qui d�montre, comme il suit, le peu que valent la raison et la science en mati�re de religion: Le Fils de Dieu est mort: cela est croyable pr�cis�ment parce que c'est inepte. Enseveli, il est ressuscit� cela est certain parce que c'est impossible. Mortuus est Dei filius: prorsus credibile est quia ineptum est. Et sepultus resurrexit: certum est quia impossibile est. Notre histoire r�sum�e du Christianisme n'est pas un travail de critique et de discussion. Quel meilleur t�moignage que celui de l'�glise elle-m�me pourrions-nous invoquer en entreprenant d'exposer les v�rit�s singuli�res qu'elle enseigne et les faits particuliers dont elle affirme l'authenticit� ?..."

" La nation fran�aise �tait ab�tie et tyrannis�e depuis des si�cles. Ni lois, ni droits. Par les lettres de cachet, les confiscations, les imp�ts arbitraires, les privil�ges de caste, les redevances f�odales, les d�mes, les corporations et les jurandes, le roi, la noblesse et le clerg� poss�daient la terre, les esprits et les corps. Le peuple tout entier travaillait et mourait sous le b�ton, mis�rable, affam�, soumis � la plus abjecte servitude. La R�volution fran�aise a �t� la revendication des droits de l'humanit� outrag�e; elle a �t� le combat terrible et l�gitime de la justice contre l'iniquit�. Nous entreprenons de retracer ici rapidement, mais sans rien omettre d'essentiel, les faits qui se sont produits depuis l'av�nement de Louis XVI jusqu'au coup d'�tat du 18 brumaire..."

Zeus a partag� la couche de la mortelle S�m�l�, fille du roi de Th�bes Cadmos. Par suite de la jalousie d'H�ra, il foudroie S�m�l�, mais il tire alors son fils du ventre de sa m�re et, s'entaillant la cuisse, y coud l'enfant pour mener sa gestation � terme. Dionysos passe son enfance et son adolescence en Lydie, o� il est ador�. Il retourne ensuite, sous les traits d'un mortel accompagn� de bacchantes, � Th�bes, sa ville natale, o� il rencontre l'hostilit� de sa famille. Il cherche � se venger de Penth�e, son cousin (qui refuse de le reconna�tre et de l'honorer comme un dieu), ainsi que de tous ceux qui nient qu'il soit n� de Zeus. Rapidement, il rend les femmes de la cit� d�lirantes, les entra�ne � sa suite et les emm�ne dans la for�t, o� elles se livrent au culte orgiaque de Dionysos. Parmi elles se trouve Agav�, la m�re de Penth�e. Cadmos d�cide alors d'autoriser le culte demand�, non pas parce qu'il est convaincu de sa divinit�, mais parce que cela sert l'honneur et l'int�r�t de sa famille. Le devin Tir�sias trouve �galement que cette attitude est la plus s�re et la plus diplomate. Penth�e d�couvre la situation et d�cide d'y mettre bon ordre, car son grand-p�re lui a commis le gouvernement de la cit�. Il fait emprisonner l'�tranger, qui n'oppose aucune r�sistance, et les femmes qui l'accompagnent. Les bacchantes sont alors pouss�es � la folie furieuse par le dieu; elles d�truisent et tuent tout ce qui se trouve sur leur passage. L'�tranger, miraculeusement lib�r�, propose � Penth�e de se cacher, habill� en bacchante, sur le mont Cith�ron pour constater par lui-m�me les orgies dionysiaques, persuad� que ce sont les plaisirs interdits qui attirent les femmes dans la montagne. Penth�e accepte, et se ridiculise en portant des habits de femme. En se rendant dans la montagne, il est d�couvert par les bacchantes, qui le r�duisent en pi�ces sur l'ordre de Dionysos, Agav� � leur t�te. Ce n'est qu'apr�s avoir rapport� en triomphe la t�te de Penth�e au palais qu'elle s'aper�oit avec horreur qu'elle a tu� son propre fils. Dionysos appara�t alors, triomphant, ayant bris� � la fois ceux qui niaient sa divinit� et ceux qui ne l'acceptaient que par int�r�t et par prudence.

La guerre de Troie dure depuis bient�t dix ans. Elle oppose les Ach�ens venus de toute la Gr�ce, aux Troyens et leurs alli�s. Face � la cit� fortifi�e, les centaines de navires des assi�geants reposent sur la plage et leur servent de campement. L'Iliade relate, dans l'ordre chronologique, six journ�es et nuits de la guerre; le chant XXIV se d�roule douze jours apr�s les �v�nements du chant XXIII.

"Hymnes hom�riques" de Leconte de Lisle. Po�te fran�ais (1818-1894).

"Histoire populaire de la R�volution fran�aise" de Leconte de Lisle. Po�te fran�ais (1818-1894).

"Histoire populaire du Christianisme" de Leconte de Lisle. Po�te fran�ais (1818-1894).

"La Passion" de Leconte de Lisle. Po�te fran�ais (1818-1894).

"Les Po�tes contemporains" de Leconte de Lisle. Po�te fran�ais (1818-1894).

"L'Apollonide" de Leconte de Lisle. Po�te fran�ais (1818-1894).

"L'Inde fran�aise" de Leconte de Lisle. Po�te fran�ais (1818-1894).